• Volet socio-territorial

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    Ce volet détermine les conditions de travail et la qualité de vie de l'éleveur ainsi que son intégration dans le milieu local. Au niveau de l'entraide, on observe une légère diminution. Le résultat avait beaucoup attiré le groupe de travail qui avait conclu de la manière suivante : les éleveurs investissent dans du matériel de plus en plus important, ils ont besoin de moins en moins des services des CUMA ou de l'entraide de ce fait ils s'isolent.

    Bilan et améliorations possibles de la durabilité sociale

    • Les conditions de travail et la qualité de vie sont devenues majoritairement des atouts.
    • Les agriculteurs sont bien impliqués dans le développement local
    • Les « pics de travaux » restent majoritairement une contrainte. Néanmoins, la main d'oeuvre disponible/ha est devenus un atout.
    • Améliorations possibles : « pics de travaux » mais difficile
    • Le temps de travail : objectif pour la majorité des exploitations
    • Les conditions de travail et la qualité de vie sont devenues majoritairement des atouts.

    Le temps de travail, les pic de travaux (agnelage, fenaison,…) représente une contrainte pour 11 exploitations, néanmoins on constate que l'évolution des structures en forme sociétaire (GAEC) et un meilleur équipement permet dégager des semaines présentant des charges de travail moins importantes (17 en 2002 et 18 en 2010). L'heure de main d'oeuvre disponible à l'hectare a évolué positivement depuis 2001, il y a plus de main d'oeuvres disponible par hectare hors travail d'astreinte. Cette augmentation est dûe à une augmentation du nombre d'UTH dans les exploitations (GAEC) et surtout à de meilleurs équipements et organisation qui permettent de limiter le travail d'astreinte.

    La qualité de vie est un facteur très important en termes de bien-être pour un individu. On remarque que même si le métier d'agriculteur est éprouvant et difficile moralement dans le contexte actuel (problème de revenus, isolement), les éleveurs considèrent pour 11 d'entre eux leur qualité de vie comme un atout (c'était le cas également en 2002). Les arguments sont le cadre de vie, la nature, de faire un métier où l'on est son propre patron.

    La qualité de travail est également perçue comme un atout pour la majorité des éleveurs (17 d'entre eux), ce n'était pas le cas en 2002. Cette évolution a pour origine l'amélioration des conditions de travail au travers des équipements et de la main d'oeuvre.

    Le dernier aspect regroupe la vie sur le territoire et la qualité du bâti. On observe depuis 2002 une excellente intégration des agriculteurs dans la vie du territoire (13 atouts en 2002 et 15 atouts en 2010). On les retrouve à l'intérieur d'associations, de syndicats ou de conseil municipaux. Il est très important pour un agriculteur d'avoir un centre d'intérêt autre que son exploitation. L'entretien de la qualité du bâti a par contre diminué depuis 2002 passant à 9 atouts contre 16, les réponses ne sont pas déterminées, on peut supposer une question du coût de l'entretien.

    Le volet socio-territorial n'a pas démontré de grande évolution depuis 2002 en termes de durabilité. Néanmoins on constate une amélioration des conditions de travail au travers de meilleurs équipements et organisations.
    • Livres
    •  PEUPLES DU LAIT

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      A commander par mail (voir contact bas de page)
    • Attaque du loup

    • En cas d'attaque du loup

      RECOUVRIR les brebis (bâche, etc... vis à vis des vautours) après avoir pris des photos des bêtes tuées ou blessées ainsi que les morsures.


      POUR L'AVEYRON, APPELER :
      1) la gendarmerie
      de la Cavalerie : le référent loup, M. Perrier 05 65 62 70 01

      2) Les gardes de l'ONCFS :
      M. Auger            06 27 02 58 41
      M. Caylus           06 27 02 58 93
      M. Cazabonne    06 27 02 58 95
      M. Minici            06 27 02 58 94
      M. Penguet        06 43 21 67 51
      M. Tourniet        06 25 03 21 20

      3) Le TAM-TAM info attaque instantanée :
      Frédéric Goujon (éleveur) 06 75 06 83 05

      4) Un autre éleveur(se) pour ne pas être isolé(e) dans les démarches de constat.
      Le constat initial conditionne toute la suite. Bien lire soi-même les questions et les réponses inscrites

      POUR LA LOZERE, APPELER :
      L'ONCFS : 04 66 65 16 16


      POUR L'HERAULT, APPELER :

      Le garde de l'ONCFS :
      M. Arnaud       06 83 61 16 45

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